
Ah! il traîne une ombre encor non élucidée
Dans ce vaste univers...
La verve de mes vers,
Par les vents qui soufflent, toute en est débridée...
Ce néant, ce trou noir
Dont il nous faut d’abord maîtriser les extrêmes,
Du fond de l’entonnoir,
Aidera les hommes à voir les voies suprêmes...
Parce qu’ils usent faussement des éléments
Des mystiques kabbales
Et font briller devant nos yeux leurs excréments
Sur les hauteurs astrales...
Jules Kébla
18 mai 2000
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