...
Il ne fallait pas grand chose
Pour en faire femme heureuse
Et la voir comme une rose
Ouvrir sa mine chartreuse...
Il ne fallait vraiment rien,
Rien qu'un petit sourire
Pour qu'elle se sente bien
Et que tout son coeur chavire...
Il ne suffisait qu'à l'aube,
Lorsque viennent les rayons
Enluminer nos haillons,
De l'habiller d'une robe
Cousue des fils d'or d'amours
Et déposer tous les jours
Sur son front une couronne
Des baisers coulant sur son trône...
Mon amour toujours en proie
Aux piqûres du rosier,
N'a pu, las! s'en extasier:
Et tout mon coeur en larmoie...
Justin Jules S.
Paris 18ème, rue Ordener;
Septembre 2004.
Penséespoétiques.
Sunday, June 01, 2008
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