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Femme, tu pleureras comme un enfant
Qui cherche en vain le sein de sa maman.
Et tu auras des larmes à torrent
Cherchant à conquérir mes sentiments...
Mais mon coeur sera dur comme du roc
Car ton départ était for me un choc!
Ton amour, femme, n'était que du toc:
J'en suis malade et j'en fais sur mon froc!
Femme, ô fleur! âgée, tu deviendras moche!
L'homme à tes pieds te fera des reproches...
Et bien qu'accroché sur tes notes fausses,
Son coeur maudira ton amour qui cloche
Afin que, même moi, ami très proche,
Quand tu choieras bassement sur tes fesses
Comme une pauvre vache bien en graisse,
Je n'aie aucune larme dans mes poches!
Sans charme, tu auras l'air d'un fantôme,
Ombre errante d'un corps privé d'atomes...
N'ayant plus toutes tes dents dans la bouche,
Tu ne croqueras jamais plus de pomme:
Afin que l'on ait la fierté d'être homme.
Bref, le Seigneur te mettra sur la touche
Pour que les hommes avec qui tu couches,
Ne soient pendus sur le fil de leur baume...
C'est, hélas! le sort que la mort réserve
Aux femmes sans foi qui de nous se servent,
Qui creusent nos coeurs pour trouver leur sève:
Elles n'auront qu'ici-bas des joies brèves!
Justin Jules S.
septembre 2004, Pensées Poétiques.
Monday, June 02, 2008
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